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    L’île de Madagascar : Sanctuaire d’une Biodiversité Menacée

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    Séparée du continent africain par le canal du Mozambique, l’île de Madagascar est la plus vieille île du monde. Celle que l’on appelle la Grande Île, abrite le nombre d’espèces endémiques le plus important sur Terre. Sa situation géographique, son histoire géologique et son exceptionnelle biodiversité, lui confèrent des enjeux environnementaux de premier plan. Au cœur de l’océan Indien, en partance pour une île pas comme les autres !

    L’île de Madagascar : une diversité biologique et culturelle

    L’île de Madagascar : une biodiversité aux origines controversées

    La biodiversité de l’île de Madagascar est singulière. Elle se caractérise par un taux d’endémisme remarquable : sensiblement 90% pour les vertébrés et 80% pour la végétation. Une espèce est dite endémique lorsqu’elle est exclusivement présente dans un territoire délimité. Une particularité qui s’explique, en partie, par l’isolement géographique de l’île depuis près de 100 millions d’années.

    Deux hypothèses qui divisent les scientifiques ont été avancées pour expliquer cette biodiversité unique.

    • L’hypothèse la plus ancienne suggère que la flore et la faune vertébrée terrestre sont arrivées à Madagascar par dispersion transocéanique. Des amas de végétation passent d’un bloc terrestre à un autre par flottaison, transportant parfois des animaux pris au piège. Ce phénomène est aussi appelé « dispersion par radeau de végétation ».
      Des données génétiques laissent penser que l’ancêtre commun des lémuriens de Madagascar aurait traversé le canal du Mozambique par radeau, il y a près de 55 millions d’années.
    • Une alternative à cette hypothèse est proposée en 2021. Suite à des études sédimentologiques, tectoniques, cinématiques et paléo-environnementales, une partie de la communauté scientifique démontre que des ponts terrestres épisodiques seraient à l’origine de la diversité biologique à Madagascar.
      Ces arches terrestres formées par des monts marins le long de la dorsale de Davie, émergées par intermittence au cours du Cénozoïque, seraient au cœur de cette nouvelle approche géologique. L’analyse pollinique de ces hauts-fonds évoque une végétation variée comprenant des écosystèmes de mangrove.

    De l’île et des hommes

    Des recherches publiées dans Science Advances démontrent une présence humaine sur l’île de Madagascar il y a plus de 10 500 ans. Des indices de fractures, par coupures périmortem, ont été observées sur des ossements fossilisés d’un æpyornis (oiseau géant aujourd’hui disparu).
    Cette découverte, réalisée par l’équipe de James Hansford de la Société zoologique de Londres en 2018, « renverse complètement notre compréhension de l’arrivée des premiers humains [sur l’île] » (Patricia Wright, de l’université d’État de New York, coauteure de l’étude). En effet, elle relance la question de la responsabilité humaine dans l’extinction de la mégafaune de Madagascar.

    Selon l’anthropologue Harilanto Razafindrazaka, chargée de recherche au CNRS, un important épisode de baisse du niveau de la mer s’est produit il y a environ 17 500 ans. De nombreuses îles sont alors apparues entre l’Inde et Madagascar, servant de passage à la faune, mais aussi à l’Homme.

    L’origine du peuplement malgache reste cependant incertaine. À des fins de meilleure compréhension, le projet MAGE (Madagascar, Anthropologie, Génétique, Ethno-linguistique) a été lancé en 2007. Pendant 10 ans, des chercheurs ont visité plus de 250 villages de Madagascar pour échantillonner la diversité culturelle et génétique humaine.
    Cette étude prouve que la mondialisation n’est pas un phénomène moderne, et que chaque Malgache est le fruit d’un métissage millénaire, entre des populations africaines de langue bantoue et des populations asiatiques de langue austronésienne.

    Chaque ethnie malgache a son propre dialecte, ses propres coutumes et un secteur géographique délimité. Cela n’a pas entravé un fort brassage au fil du temps.

    • Les Betsimisaraka (ceux qui ne se séparent pas).
      Les membres de la plus grande tribu vivent le long de la côte est. Ils cultivent le café, le girofle et la canne à sucre. Ils construisent traditionnellement sur pilotis afin de se protéger des eaux et de l’humidité.
    • Les Sakalava (ceux des longues vallées).
      Ils occupent une zone s’étendant le long de la côte ouest. Ce sont des éleveurs de bovins. Ils pensent que le monde végétal est une ressource illimitée, œuvre généreuse du dieu Zañahary.
    • Les Antandroy (ceux des épines).
      Ils vivent de la fabrication et du commerce du charbon, dans le sud de l’île. Ils sont réputés pour la maîtrise de certains sortilèges.
    • Les Mahafaly (ceux qui font les tabous).
      Ils résident sur un vaste plateau entre les fleuves Menarandra et Onilahy, dans le sud-ouest de l’île. Ils sont reconnus dans l’orfèvrerie et sont d’excellents sculpteurs sur bois.
    • Les Vezo (nomades de la mer).
      Marins aguerris, ils vivent du produit de leurs pêches. Selon leurs traditions, ils seraient les descendants de l’union d’un ancêtre unique et d’une sirène.
    • Les Betsileo (les invincibles).
      Ils pratiquent la riziculture en terrasses dans le centre de l’île. Les flancs sculptés de leurs rizières sont semblables au paysage d’Asie du Sud-Est.

    Repoblikan’i Madagasikara (république de Madagascar en malgache) trouve son origine toponymique dans le golfe de Thaïlande. Les navigateurs Arabes avaient constaté que l’idiome malgache s’apparentait à la langue austronésienne parlée en Malaisie. Ils nommèrent le territoire « île malaise » ou malay-jazayra. Madagascar en est une translittération européenne.

    L’action environnementale

    Dans un article publié en septembre 2024, l’AFD (Agence Française de Développement) détaille un projet d’accompagnement pour les exploitations familiales agricoles malgaches.

    L’enjeu est de développer des pratiques agroécologiques.

    Le projet est en cours pour une durée de trois ans et des résultats sont escomptés :

    • Application de nouvelles pratiques agroécologiques par 2 250 exploitations agricoles.
    • 220 hectares de terre reboisés.
    • 600 hectares de terres agricoles utilisés pour des productions agroécologiques.
    • 10 200 élèves et 120 enseignants formés à la protection de l’environnement.
    • Initiation d’un dialogue sur l’agroécologie avec les acteurs politiques locaux.

    Le mouvement local FARM (Femme en Action Rurale de Madagascar) intègre le développement agroécologique à son combat. Ce groupe solidaire entre femmes rurales créé en 2018 lutte ainsi contre la faim et le dérèglement climatique.
    La photographe Roberta Valerio les a rencontrées en avril 2024. Elle raconte leur parcours en image.

    La photographe Roberta Valerio est allée à Madagascar à la rencontre de notre partenaire FARM et d’agricultrices engagées en faveur de l’agroécologie. En images, elle nous raconte leurs parcours. Crédit vidéo : CCFD – Terre Solidaire

    Le WWF (Fonds mondial pour la nature) mène un programme de protection de la nature et de l’environnement à Madagascar. Activement engagée pour la préservation de la biodiversité, l’organisation pilote plusieurs actions :

    • Le développement communautaire de l’énergie solaire.
    • L’équipement technique des foyers.
    • La création d’aires protégées.
    • La préservation des mangroves du Manambolo (fleuve du versant ouest se jetant dans le canal du Mozambique).
    • L’instauration de filières durables et génératrices de revenus.

    L’isolement de l’île de Madagascar au cours des temps géologiques, son positionnement géographique, la variété de son relief et de son climat, en font un lieu d’une remarquable biodiversité. La Grande Île est soumise à des enjeux environnementaux de premier plan.

    L’île de Madagascar : terre d’habitation pour nombre d’espèces

    Situation géographique de l’île de Madagascar

    L’île de Madagascar est un État insulaire long de 1580 km et large de 580 km. Située dans l’océan Indien, à environ 400 km de la côte est du Mozambique, la république de Madagascar est la 4ᵉ île du monde en termes de superficie. Ses 587 295 km² la place derrière le Groenland, la Nouvelle-Guinée et Bornéo. À noter que l’Australie ne fait pas partie du classement, car bien que certaines sources lui attribuent les deux appellations, elle est habituellement considérée comme un continent et non comme une île.

    L’État insulaire est traversé par le tropique du Capricorne au sud et se situe dans la zone de convergence intertropicale pendant l’été austral. En climatologie, les variations de la ZCIT (zone de convergence intertropicale) ont un impact direct sur les précipitations dans la région équatoriale. Elles sont à l’origine de la saison sèche et de la mousson (saison des pluies).
    La ZCIT est une zone propice à la formation de cumulonimbus, de puissants orages et des cyclones tropicaux.

    La côte orientale de l’île de Madagascar est exposée aux alizés toute l’année, on l’appelle « la côte au vent ». La côte occidentale en est abritée, c’est « la côte sous le vent ».

    La variété du relief sur l’île permet de la diviser en 5 zones climatiques :

    • Un climat de type tropical au nord, avec des températures comprises entre 15°C et 37°C. Pendant la mousson, de décembre à avril, la région reçoit des pluies abondantes.
    • Un climat de type tropical humide sur la côte est, avec une température annuelle moyenne de 24°C. De janvier à mars, cette partie de l’île est fortement exposée aux alizés et aux cyclones tropicaux.
    • Un climat de type tropical de savane dans le grand ouest. Les températures varient de 6°C à 37°C. Pendant la saison sèche (de mai à novembre), la moyenne des précipitations est inférieure à 60 mm.
    • Un climat de type subtropical dans les hautes terres du centre de l’île. Les pluies estivales dominent et la moyenne des températures annuelle est de 20°C.
    • Un climat de type subdésertique à l’extrême sud. L’amplitude thermique est élevée, avec des températures allant de -6°C à 40°C. Les pluies sont rares : le taux d’évaporation excède le taux de précipitations.
    Comme le montre cette image satellite, l'île de Madagascar se situe dans la zone de convergence intertropicale.
    Vue satellite de la zone de convergence intertropicale. Crédit photo : Nilfanion via Wikimedia.

    L’île de Madagascar en relief

    L’île de Madagascar est parfois nommée l’île Rouge en référence à la latérite qui colore ses plateaux. Cette roche ocre nacarat se forme par altération des minéraux sous les climats tropicaux. Particulièrement riches en hydroxydes de fer, les sols rouges de Madagascar sont prédominants dans les hauts plateaux de centre.

    Vue plongeante d'un bloc de latérite et d'un bras de fleuve rouge sur l'île de Madagascar.
    La latérite se forme par altération des roches sous les climats tropicaux. Elle est riche en hydroxydes de fer. Crédit photo : Photoforyou via Pixabay.

    Le relief de l’île de Madagascar est dissymétrique et diversifié. Il est observable le long de trois bandes irrégulières orientées nord-sud.

    • À l’est : une plaine côtière délimitée par l’océan Indien et un rempart abrupt. Des lagons abrités par une barrière de corail bordent la façade orientale, recouverte par des forêts humides de moyenne altitude. Cette pénéplaine oscille entre 150 m et 500 m au-dessus du niveau de la mer.
    • Au centre : les hauts plateaux s’étendent de 800 m à 1 500 m d’altitude. Cette région intérieure couvre 60% du territoire et renferme son plus haut sommet (le Maromokotro : pic volcanique de 2 876 m d’altitude).
    • À l’ouest : de vastes plaines redescendent doucement jusqu’au canal du Mozambique, dans un relief de cuestas. Un nivellement de crêts est particulièrement observable dans le bassin de Morondava. Cette région karstique offre des chefs-d’œuvre de la Nature, comme les fameuses cathédrales de calcaire, autrement appelées les « Tsingy de Madagascar ».
    Vue du Maromokotro, sommet de l'île de Madagascar situé dans le nord.
    Maromokotro est la plus haute montagne de Madagascar, elle culmine à 2 876 mètres d’altitude. La croyance populaire affirme que les esprits viennent y errer après la mort. Crédit photo : Yann Mayette via Wikimedia.

    Histoire géologique de l’île de Madagascar

    Des études sédimentologiques permettent de situer l’origine géologique de Madagascar à proximité de l’actuel Kenya. À la fin du Précambrien, il y a environ 600 millions d’années, la Grande Île se situait au centre du Gondwana. Cet ancien supercontinent réunissait ce que sont aujourd’hui l’Amérique du Sud, l’Antarctique, l’Australie, l’Inde, l’Arabie, l’Afrique et l’île de Madagascar. Cette immense masse continentale a commencé à se fracturer au début du Jurassique, il y a près de 180 millions d’années, permettant ainsi l’ouverture des bassins océaniques somalien et mozambicain.

    À la fin du Crétacé, l’Inde s’est séparée du continent africain et a entamé sa dérive vers le nord. Madagascar s’en détacha il y a 88 millions d’années. Voilà donc, à peu près, l’âge de la plus vieille île du monde.

    L’île de Madagascar a suivi une trajectoire le long d’une faille orientée nord-sud. Un parcours identifiable par la dorsale de Davie, crête médio-océanique de 1200 km, culminant actuellement à 20 mètres sous le niveau de la mer dans le canal du Mozambique.

    L’île est unique en ce sens que l’on observe, dans sa structure géologique, presque toutes les périodes de l’histoire de la planète.

    Une biodiversité endémique

    Eldorado d’un règne animal et végétal, l’île de Madagascar voit s’épanouir une faune et une flore uniques depuis des millénaires. Son isolement biogéographique, son relief nuancé associé à un climat composite, ont contribué au développement d’espèces propres en ces lieux. L’est de l’île est une écorégion chaude et humide, l’un des espaces les plus riches de la planète en termes de biodiversité. Elle est considérée par le Fonds mondial pour la nature (WWF), comme exceptionnelle au niveau biologique et prioritaire en matière de conservation.

    Madagascar abrite plus de 250 000 espèces et 70% d’entre elles sont endémiques.

    80% à 90% de la faune malgache n’est observable nulle part ailleurs et la flore endémique de l’île ne compte pas moins de 19 000 espèces. L’île de Madagascar retient près d’un millier de variétés d’orchidées et sept classes de baobabs, contre une seule sur tout le continent africain. La plus vieille île du monde est un sanctuaire de la nature pour tous les scientifiques.

    De nombreuses associations sont présentes à Madagascar et depuis 1963, le WWF s’efforce de préserver son unique biodiversité. L’ONG environnementaliste lance une alerte quant à la sauvegarde de certaines espèces menacées.

    Le facteur humain sur l’île de Madagascar

    La destruction de l’environnement sur l’île de Madagascar a pris des proportions alarmantes.

    Avec un taux de pauvreté estimé à 80,7% en 2023, une agriculture de subsistance n’enraye pas la malnutrition à Madagascar. Par tradition, les cultivateurs locaux pratiquent le « tavy », en d’autres termes : une agriculture sur brûlis. Il s’agit d’un procédé agraire par lequel les champs sont défrichés par le feu. Procédé tristement réputé à travers le monde, comme en Amazonie.

    Sur l’Île Rouge, 90% des surfaces boisées originelles ont disparu.

    Feu de brousse sur l'île de Madagascar.
    La tavy (brûlis) vise à incendier les terres afin de replanter par la suite. Crédit photo : Fitiamg via Wikimedia.

    En outre, l’île de Madagascar souffre d’une exploitation forestière illégale.

    Le caractère unique des espèces sauvages malgaches alimente les convoitises sur les marchés étrangers. L’ébène et le bois de rose, robustes et prestigieux, sont très prisés en Asie. Ils peuvent se vendre jusqu’à 2000 dollars la tonne, ce qui encourage un trafic non autorisé.

    La faune endémique n’est pas épargnée. Les tortues terrestres, les requins (pour leurs ailerons) ou encore, les hippocampes, sont également exposés à une forme de commerce illicite.

    Selon une étude publiée en décembre 2019 dans la revue Nature Climate Change, l’emblématique lémurien de Madagascar est aujourd’hui menacé de disparition. La destruction de son habitat et les conséquences du réchauffement climatique en sont les principales causes.

    Madagascar, la plus vieille île du monde, est riche d’une biodiversité inégalée sur Terre. Son isolement géographique, la rudesse de son climat et l’action humaine face à la pauvreté, mettent en péril son caractère unique. De nombreuses associations œuvrent sur place depuis plusieurs années. Mais dans un contexte de réchauffement climatique global, ces actions suffiront-elles à préserver l’île d’une destruction avancée ?

    RETENEZ


    • Madagascar est la plus vieille île du monde.
    • L’île de Madagascar abrite le nombre d’espèces endémiques le plus important sur Terre.
    • La Grand île fait face à de nombreuses menaces environnementales, notamment la déforestation massive due à l’agriculture sur brûlis, l’exploitation illégale de ressources et la destruction des habitats naturels.
    • Des initiatives locales tentent de protéger l’environnement, avec des projets axés sur l’agroécologie, la reforestation, l’éducation environnementale, et la création d’aires protégées.

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